Ainda o Poço se realizou há pouco mais de uma semana e já produziu um abanão na máquina de recordações. É algo que lembrará a poucos oureenses, mas foi uma canção que ouvimos tanta vez pelo menos num meio que o Luis Filipe, o alferes Sampaio, frequentava (e o Luis teve a amabilidade de me brindar com uma garrafinha da sua produção magnífica) pelo que não resisto a trazê-la agora que a reencontrei e me recorda dois amigos que já partiram também. Experimentem ouvir e acompanhar com a letra:
On m'avait conseillé d'écrire
Une chanson pour un été
Une chanson où je pourrais dire
Tout ce que j'ai à regretter
Où je parlerai de mes richesses
Et de l'amour que je n'ai pas trouvé
Et je dirai, je dirai, je dirai
[Répétition] :
Qu'est-ce que je fous ici ?
Mais qu'est-ce que je fous ici ?
Je dirai chaque soir je quitte
La ville où je viens de chanter
Chaque soir reste dans ma tête
Les yeux d'une fille qui pleurait
Tes yeux à toi qui es venue me voir
Et je ne sais plus que penser
Et je me dis, je me dis, je me dis
[Répétition]
Je cherchais ce que je pouvais te dire
À toi qui t'ennuies dans ton coin
Toi qui t'ennuies depuis des heures
Seule ton verre à la main
Je ne sais pas je ne sais dire que ce que j'aime
Je ferai mes chansons moi-même
Te diras-tu, te diras-tu, te diras-tu
[Répétition]
Je dirai je suis millionnaire
J'ai tous les trésors que je veux
Tous les trésors de la terre
Pourtant il me manque deux yeux
Deux yeux où je pourrais me perdre
Pour sortir de ma tour d'ivoire
Et je suis seul, je suis perdu !