Arrête, arrête ne me touche pas
Je t'en supplie ai pitié de moi
Je ne peux plus supporter
Avec une autre te partager
D'ailleurs demain tu te maries
Elle a de l'argent, elle est jolie
Elle a toutes les qualités
Mon grand défaut c'est de t'aimer
Arrête, arrête ne me touche pas
Je t'en supplie ai pitié de moi
Dès que tes mains se posent sur moi
Je suis prête à subir ta loi
Mais tu as préféré les grands honneurs
A la place de notre bonheur
Et, et pour garder tes ambitions
Tu as détruit mes illusions
Je sais, je sais tu m'aimes encore
L'orgueil pour toi est le plus fort
Il a vécu le grand amour
Pour garantir tes vieux jours
Il faut, il faut nous quitter sans remords
Tu es le maître de ton sort
Laisse-moi, laisse moi te féliciter
Demain, demain tu vas te marier
Chez elle tu auras le confort
Chez moi tu jouais avec mon corps
Chez elle tu vas te distinguer
Chez moi tu venais te griser
Ce soir, ce soir c'est la dernière fois
Que je te parle, que je te vois
Puisque, puisque c'est elle qui aura ton nom
Ce soir, ce soir moi je te dis non
Non ! Non !
(A lamechiche francesa em todo o seu esplendor na fase do Fernão Lopes. Chamava-se Patricia Carli, e não recordo bem o nome da canção. Recordo sim que a sonoridade era excelente e a entrada fantástica com aquele "Arrête, arrête.." pelo que se me tornou inesquecível).
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